Je m’appelle Marine et j’ai ouvert mon épicerie qui propose des produits vracs et locaux. La démarche zéro déchet m’anime et j’ai souhaité la partager à travers mon activité. Après 25 ans de navigation, j’ai eu envie d’entreprendre et d’avoir une vie sédentaire.
Au sein de mon épicerie, 80 % des produits sont proposés en vrac, les clients viennent avec leurs contenants remplir leurs bocaux, leurs sacs en tissu, boîtes ou sachets papiers qu’ils réutilisent. Pour la partie cosmétique, je propose des produits solides comme du savon, des shampoings, des déodorants, du dentifrice… Ces derniers limitent la consommation de bouteilles en plastique. Pour les produits ménagers, c’est pareil, tout est vendu en vrac : lessive, vinaigre blanc, savon noir…
Lors d’un voyage au Vietnam, j’ai aperçu le septième continent le long d’une plage et ça m’a affolée de voir tant de déchets pollués nos océans. J’ai décidé d’agir maintenant pour les générations futures.
Le zéro déchet est mon mode de vie, j’avais envie de le partager et de faire comprendre l’urgence de limiter nos déchets. Chaque geste compte, personne n’est parfait, si chaque personne fait un petit effort, on peut limiter les dégâts (le colibri est un bel exemple).
S’y mettre a rencontré la Konk-Creative à Concarneau. Ce joyeux tiers-lieu collaboratif est dédié à la culture, à l’art, aux loisirs créatifs et au DIY.
S’y mettre est allé à la rencontre du jardinier aux 53 000 abonnés qui se cache derrière le compte instagram @jardinbiobzh. Il nous raconte comment
Benjamin Sahun a créé l’association l’Objethèque de Cornouaille, basée à Quimper. Pour S’y mettre, il nous parle de son parcours et l’origine de ce projet atypique et pourtant évident !